🩸Chinoike

Ce clan a été réellement secoué par la destruction semée par Azura Kaguya, ils ont toutefois réussi à survivre dans leur globalité, au prix de leurs souvenirs. Rapide pour s’organiser, ils ont, avec d’autres survivants, investi les ruines et la désolation laissée par les précédents événements, récupérant notoirement quelques armes rares, comprenant entre autres quelques épées de la brume, puis, une fois leurs affaires rassemblées, les Chinoike et leurs camarades entamèrent une longue exode à travers les pays, tous en reconstruction. Par crainte et aversion de l’inconnu, personne ne daignera leur offrir un toit ou loger et des vivres pour se sustenter.

Leur pas les menèrent jusqu’à l’archipel du pays de l’eau, où tous exténués semblaient à bout de souffle. La majorité d’entre eux pensaient arriver à terme de leurs existence, la providence en décidera autrement, et, alors que la force même d’avancer venait à manquer, jaillit des torrents gelés bordant les plages plusieurs ninjas au teint céruléen, arborant des traits bestiaux. Ils se présentèrent comme les mercenaires Hoshigaki, fut proposé aux nomades un lieu où s'abriter et être nourrit à la seule condition du prix d’une des épées rares portée par les Chinoike : Samehada. Évidemment, ayant presque perdu espoir, les voyageurs acceptèrent de bon cœur l’aide proposée et seront dirigés sur un véritable chantier. Ce fut une douche froide, le terrain étant austère au possible. Mais, les Hoshigaki montrèrent patte blanche, leur assurant que la famine ne serait plus un problème pour tous, montrant un de leurs points forts : la chasse et la pêche. Les nomades tentèrent de s’installer dans ces lieux, d’abord chaleureusement accueillis, les tons changèrent assez rapidement quand les nomades s'aperçurent qu’en réalité les Hoshigaki et quelques autres individus présents en amont leur délaissèrent tout le sale boulot, à savoir la reconstruction et l’entretien du village en devenir. Pressentant le coup, les Hoshigaki eurent une ingénieuse solution : déterminer les responsabilités des résidents par le combat. Usés, les nomades tombèrent dans le piège et tentèrent leurs chances, les combats prenaient la forme de duels impitoyables en arène, ce qui devint plus tard à Kiri une norme pour déterminer le rang social individuel. Les quelques malheureux, voyant qu’ils n’avaient aucune chance, tentèrent la fugue, peine perdue face aux Hoshigaki, alors maîtres des lieux qui les rattrapaient et les exécutaient de manière publique, instaurant un régime de terreur, où violence et sauvagerie sont monnaie courante.

Notamment grâce à leur dojutsu, les Chinoike parvinrent non sans peine, à prouver leur supériorité dans les duels, achetant la paix et la tranquillité, qu’ils mirent dans un premier temps à profit pour se réorganiser, bâtir leur domaine, tenter d'à nouveau faire de l’ordre dans leurs souvenirs égarés, se familiarisant avec leurs Ketsuryugan et leurs techniques propres. Les membres de la famille Chinoike mirent d’ailleurs à profit leur temps libre pour s’intéresser à diverses disciplines telles que le genjutsu, la médecine, et enfin le Kenjutsu. Hiken Chinoike fut celui qui décela le potentiel oublié de leurs deux dernières épées de la brume. Renfermant un potentiel gigantesque et représentant des armes surpuissantes, ils tentèrent dans un premier temps d’apprendre à les manier, leur détenteur devenant bien assez vite aussi redoutable que le chef des Hoshigaki qui trônait alors au sommet avec Samehada. Quand vint titiller leurs esprits une juste question : existe-t-il d’autres épées avec ce potentiel ? Ils furent alors missionnés par les leurs pour créer plusieurs escouades en quête des différentes lames, profitant de leur autorité pour délivrer des permissions à quitter le village, seront amenés avec ces derniers les Kami bénéficiant à ce moment d’une bonne proximité avec le clan Chinoike.

Ainsi naquit une section au sein des Chinoike, celle œuvrant pour la traque d’artefacts à travers tout le monde shinobi. En fouillant les décombres de leur pays d’origine, ils découvrirent une nouvelle épée de la brume : Kiba. Qu’ils apportèrent à Kiri, prouvant qu’il existaient encore bien d’autres armes de cet acabit. D’un commun accord, les différents habitants décidèrent donc d’investir davantage dans cette section. S’écoulèrent les décennies, et en dépit des efforts, ils ne parvinrent à retrouver des armes, ou du moins jusqu’à ce que leurs enquêtes ne les mènent dans le pays du feu, où après un échange avec un voyageur, sera découvert que deux autres épées semblables à celles qu’ils cherchaient se reposaient dans le domaine d’un dénommé clan Senju. Profitant d’un traité économique en vigueur, les Kami de la section engagèrent des négociations avec les moines détenteurs des armes de la brume, à terme de ces dernières et de quelques services, ils récupérèrent donc Kabutowari et Nuibari, apprenant également la localisation d’une autre arme, se situant actuellement dans le domaine Uchiha. Un clan qui se montra bien moins conciliant que les Senju, s’opposant fermement à toutes offres en vue de récupérer l’arme qu’ils détenaient. Seront rapportées les armes récupérées par les Chinoike et Kami à Kiri. S'enchaînèrent par la suite des propositions toujours plus alléchantes à l’attention des Uchiha qui se refusaient toujours à donner leur arme. Frustrés de ne parvenir à trouver des terrains d’entente, les Chinoike finirent par abdiquer et passer un accord avec les Hoshigaki : était prévu le vol de l’arme. Alors réputés pour semer le chaos partout où on les laissait passer, lors d’une nuit sans lune, les Hoshigaki s’infiltrèrent et massacrèrent quelques Uchiha, laissant une fenêtre de panique suffisante pour que les Chinoike aient le temps de s’infiltrer et dérober la septième épée de la brume. Leur responsabilité sera couverte lors du drame qui se suivit et le monarque du pays de l’eau parviendra à apaiser les débuts de tensions avec le dirigeant du pays du feu.

En parallèle, les Chinoike verront leurs efforts être remarqués par le régent actuel qui, pour les remercier d’avoir rapporté 7 épées de la brume, décida de confier à cette famille la cogestion du village de Kiri. Affaiblissant la totale emprise exercée par les Hoshigaki.

Ignorant s’il n’existait que 7 épées de la brume, les Chinoike choisirent de maintenir leur section de traque de ces armes légendaires, mais aucune autre ne sera découverte.

Durant leurs recherches à travers le monde ninja, les Chinoike tombèrent sur plusieurs hardes de brigands sanguinaires, qui, en dépit de la force individuelle des ninjas du clan à dojutsu, parvinrent à infliger un nombre conséquent de pertes aux Chinoike. C’est dans cet événement qu’ils entendirent pour la première fois le nom de Jashin. Curieusement, tous ces brigands, peu impressionnés par la mort, semblaient suivre les préceptes d’une divinité sanguinaire. Focalisés sur leurs objectifs initiaux, les Chinoike tentèrent tant bien que mal d’ignorer ces brigands aussi nombreux et teigneux que des fourmis. Mais, après d’autres pertes, les membres du clan décidèrent de revoir leur jugement, décidant de simplement d’exterminer de manière systématique les membres de ce culte de gêneur aux motivations obscures. Pour une raison incompréhensible, les Chinoike eurent beau ne laisser aucun survivant, le culte, lui, ressurgissait toujours. Ainsi, la traque et l'éradication des souches de ce culte devint une activité à part entière des Chinoike. Et ça, ils le firent si bien qu’à l'internationale, leur nom sera reconnu. En effet, dès que l’on constatait des activités Jashiniste dans un continent ou un autre, on faisait appel aux Chinoike, parfois en les rémunérant. En vertu de cette activité sera offerts à ce clan pas

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